Adios les moteurs?
Les règles étaient bien plus simples il y a quelques années (euh avant 2011 en gros), il suffisait de produire des textes, qualitatifs ou non, et le super moteur tellement intelligent de Google indexait tout la bouche ouverte. On pouvait même truffer les pages de mots clefs, cacher des textes visibles uniquement par les moteurs en bas de page…et cela fonctionnait. Mais cette époque est révolue, le grand manitou du net en a décidé autrement, eh oui, il avait aussi ses propres services à placer dans tous les secteurs, et pas que dans le voyage.
Sous pretexte de nettoyer le net de tous les contenus spammy (et il y en a encore à foison), un grand ménage organisé a été opéré, et vous l’aurez remarqué aisément, il ne reste que peu de place aujourd’hui pour les résultats de recherche naturels qui se trouvent coincés (lorsqu’ils existent!) entre les résultats payants, les résultats de la maison (google flight, adress, map, hotels…), les featured snipets bien intégrés et bien visibles, le rank 0, les suggests en tous genres….
Bref, attirer des visiteurs naturellement depuis les moteurs de recherche devient de plus en plus complexe, et demande la mise en place de stratégies éditoriales, techniques et marketing un poil évoluées. Mais, rien n’est impossible pour qui sait cuisiner et innover! Vous remarquerez au passage, que la pertinence des résultats ne s’est pas tant améliorée que cela, mais passons.
Finis les réseaux sociaux?
Bon, un temps, les growth hackers ont cru, à juste titre pouvoir sortir du trafic des réseaux sociaux, en tous les cas de Facebook. Mais, non peu jaloux de voir son pire ennemi brasser les milliards d’investissements publicitaires des voyagistes (si si les gros voyagistes ont ce montant de dépenses), Facebook a décidé de fermer les vannes au naturel, lui aussi. Là encore, bel exercice de communication qui vous expliquera que pour le bien de ses usagers Facebook se doit de les protéger des contenus spammy des click-baiters, des marques sans scrupules qui ne savent pas parler à leur propre communauté. Bref, là encore grand nettoyage des contenus publiés par les marques, il va falloir passer à la caisse. Et tous ceux qui ont payé des fortunes pour acheter des clics vers leur propre page Facebook (tout de même étrange, de payer pour rester dans l’écosystème FB…), se retrouve avec des paquets de Fans qui ne verront que peu leurs messages. Là ou Google avait expurgé le naturel de 40% environ en une journée en 2011, Facebook vient de sévir avec un niveau de cleaning qui ne doit pas s’en éloigner…
Et maintenant, que faire?
Alors comment faire aujourd’hui pour attirer des visiteurs sur son site internet de voyage? Comment prendre en compte les spécificités du secteur du travel, sur saturé en contenus, en sites internet? comment émerger dans cet univers médiatique opaque?
Nous avons quelques idées constructives (et 10 millions de voyageurs par an qui viennent gratuitement sur les portails que nous avons lancé), contactez-nous pour plus d’informations!